samedi 31 août 2013

Ci-gît...

Simonetta Greggio et Frédéric Lenoir, nina, Ed. Stock, 2013 [295 p.]


Résumé :
                
      Adrien, la quarantaine, célibataire, veut mettre fin à sa vie. Dans ses ultimes moments, il se remémore un des plus beaux instants de son existence, son amour adolescent pour une jeune fille, Nina, rencontré sur la côte amalfitaine (Italie). Chaque soir, il écrit à son amour et retient ainsi des minutes de vie.

  
Pourquoi j'ai abandonné :
         
        Parce que je n'ai pas accroché sur la construction. Le récit alterne deux moments : les journées d'Adrien et les lettres nocturnes destinées à Nina. L'idée de confronter le présent oppressant et la douceur des souvenirs d'enfance est plutôt intéressante, mais les ficelles pour passer d'un à l'autre sont vraiment peu subtiles.

      Parce que je n'ai pas été sensible au personnage d'Adrien. Je l'ai trouvé vraiment laborieux dans son récit. Tant est si bien que ses états d'âme ne m'ont pas interpellée. Le chien Gaston m'a plus émue, c'est dire...

      Parce que je me suis ennuyée.  La remémoration de la relation entre Nina et Adrien est bien trop longue à se dévoiler.
     Du coup, après une cinquantaine de pages, j'ai refermé le livre. C'est dommage car les auteurs abordent le suicide (et les souvenirs qui raccrochent encore à la vie) de manière plutôt délicate.

     En bref, une rencontre ratée.



Musique : [Désolée, Italie et Amour, je n'ai pas pu m'en empêcher...]



vendredi 30 août 2013

C'est reparti !


"Vacances, j'oublie tout
Plus rien à faire du tout"


  Je pensais profiter de mes vacances pour rattraper mes chroniques en retard et poster intensément. Et puis... et puis, ce sont les vacances. Le temps file encore plus vite que dans l'année, le planning se remplit, le cerveau se vide...
  
  J'essaye peu à peu de courir après mon retard et de profiter de ces trois derniers jours de repos ; j'ai de belles lectures et quelques ratés à vous faire partager.

  De belles vacances à ceux qui le sont encore ou qui le seront, et bon courage à tous les autres.